La belle et la bête C'était comme ça que Shabazz le surnommait : « L’ignoble Baffrelard ». Alors, moi, ça me faisait des images dans la tête, forcément ! J’imaginais un être parfaitement répugnant, genre extraterrestre visqueux, à mi-chemin entre le phacochère...
Lire la suiteMais avant, un petit mot de Castor tillon : Les grands moments de solitude tome 2, c'est fini, snif. Le tapuscrit définitif sera bientôt envoyé à Philippe Ward de Rivière Blanche . Il a pris énormément de retard (pas Philippe, le tapuscrit) par ma faute,...
Lire la suiteMerci, Bernard ! Aux appels de cet étourneau, grand branle-bas dans Landerneau (G. Brassens) En 1979, à Angoulême, je croise Yvan Delporte, figure éminemment charismatique de la BD. Non content d’être le scénariste — entre autres — des Shtroumpfs, il...
Lire la suitePetits moments de reconnaissance (suite) La Comtesse, Fifi et moi Du plus loin que je me souvienne, la Bibliothèque Rose a tenu dans ma vie une place de choix. Mes premières vraies jouissances de lectrice remontent aux romans de la Comtesse de Ségur,...
Lire la suitePetits moments de reconnaissance J’aimerais clore ces « Grands moments de solitude », par deux « Petits moments de reconnaissance » envers ceux — auteurs, personnages, éditeurs, lectures — grâce auxquels a pu se construire ma carrière, avec ses instants...
Lire la suiteFranquin Quand nous débarquâmes à Bruxelles après notre retour du Liban, papa nous signala : — savez-vous que j’ai Franquin parmi mes clients ? Bond de joie d’Alex dont la rencontre avec son idole est le plus cher désir. — Je l’appelle, annonce papa en...
Lire la suiteGrégoire Mon vieux relieur avait eu un frère, dans sa jeunesse, lequel, mort à la guerre, se prénommait Grégoire. Chaque fois qu’il l’évoquait, Louis avait les larmes aux yeux. Ce qui me poussa un jour à décider : — Si c’est un garçon, nous l’appellerons...
Lire la suiteCollocs Ça m’était déjà arrivé quelques années auparavant. Une sensation extravagante, inexplicable. A peine couchée, je les sentais à mes cotés comme s’ils partageaient mon lit, leur poids faisait s’enfoncer mon matelas à certains endroits bien précis....
Lire la suiteBob et Bobette C’étaient mes B.D. préférées. Les albums populaires belges par excellence. On les trouvait dans les supermarchés au prix d’un magazine-télé bas de gamme. Ce sont ces lectures qui m’ont donné Très tôt le goût du rêve et de l’aventure. Dès...
Lire la suiteOù le roi va tout seul Shabazz raffolait des parfums « rares et coûteux », comme il disait. Et moi, j’avais horreur de ça. A tel point qu’après lui avoir fait la bise, je me ruais dans ma baignoire, histoire de ne pas lui gerber sur les pompes. Je n’ai...
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