Après vous, M. de La Fontaine ! Ils en rêvaient tous, de ces vacances à la neige : Alex, Sylvain, Barbara, Nina, Mélanie — ; tous, sauf moi qui ai horreur du froid et ne suis jamais montée sur des skis de ma vie. De plus, les chiens n’étaient pas acceptés...
Lire la suiteJournal intime d’une pensionnaire Mettre sur pied une édition de romans de gare à tendance érotique était, depuis toujours, le souhait du patron du Pubnou. Mon « Sexe des anges » inaugura la chose sous le titre falsifié de « Soumise à mon élève », suivi...
Lire la suiteLes beaux quartiers En vieille Parisienne, coutumière des transports en commun, j’étais aussi à l’aise dans le métro nocturne que dans ma salle de bains. En fait, je n’ai pas le souvenir d’avoir jamais flippé en parcourant la capitale, sauf une fois,...
Lire la suite. Valentin Letendre Certains éditeurs ne mesurent pas le privilège d’avoir tel ou tel auteur à succès dans leur « écurie ». Cette année-là, Plon jeunesse cartonnait grâce aux Peggy Sue de S.B. À tel point que la direction le sollicita afin qu’il créât,...
Lire la suiteOù vas-tu, petit soldat ? À l’abattoir En 1989, Sylvain caresse un projet ma foi fort sympathique : éditer un album collectif sur la guerre des tranchées. Les bénéfices de cette opération, par ailleurs entièrement bénévole, serviront à financer des actions...
Lire la suiteLa chambre de l’ange « Nos actes nous suivent ». Lorsque tante Irma m’asséna cet aphorisme en pleine tronche, elle ignorait que les mois à venir lui donneraient raison, en agrémentant mon jeune corps d’un petit ventre rond dont l’égoïsme de mes parents...
Lire la suitePaternité Les consignes étaient claires : pas question que quiconque, dans notre entourage, soupçonnât l’origine des enfants de Mondeva. C’est qu’il avait sa dignité, notre Shabazz ! Guinevra et Siegfrid étaient ses gosses à lui, point barre. S’il ne...
Lire la suiteJohnny got his gun Bien qu’assez réfractaires a la dureté de son thème — que nous connaissions par les critiques— , nous ne pouvions rater ce film remarquable. Aussi, lorsqu’il passa rue de la Huchette, dans ce vieux cinéma meublé de bancs de square posés...
Lire la suiteLe bonheur est sur l’écran Cette année-là, Paris rendait hommage au cinéma. Durant tout un week-end, quel que soit le programme ou la salle, la place coûtait cinq euros. Or, le dernier Bertrand Blier, Mon Homme, venait de sortir et Mélanie et moi, inconditionnelles...
Lire la suiteRevoici quelques grands moments de solitude dégotés par hasard au fond de mon ordi; j'espère qu'ils vous amuseront ! La belle et la bête Cétait comme ça que Shabazz le surnommait : « L’ignoble Baffrelard ». Alors, moi, ça me faisait des images dans la...
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