•                               Argh, nous v'là migrants

     

       Ouais, donc, blague à part, après avoir bien rigolé à l'imposition de publicités débiles sur le blog ultra-sérieux de ma Gudule, je me suis dit qu'il était temps d'aller se marrer ailleurs, dans un espace pour le moment préservé (croisons les doigts, serrons les fesses, les dents, et tout ce qu'on peut serrer et croiser, parce que les déménagements, c'est chiant, hein).

       J'ai donc ouvert un nouvel horizon chez Blogger, où j'ai recréé l'environnement que vous connaissez bien maintenant, afin que vous ne soyez pas dépaysés, et que la patte de Gudule soit reconnaissable au premier coup d'œil. Notez ceci : ce sera toujours le blog de Gudule, avec ses écrits à elle. Pas celui du Castor. Bon, des fois, je mettrai une connerie ou deux, histoire d'annoncer les articles, mais c'est tout.

       En ce qui concerne ce blog-ci, je le transférerai petit à petit chez Blogger, mais ça va être long. Parce que chez Eklablog, le service était fourni avec un super outil d'IMPORTATION, pour permettre aux déçus d'Overblog d'importer tout le bazar en quelques clics. Un vrai bonheur. Par contre, ils n'ont bien entendu rien prévu pour l'EXPORTATION vers une autre plateforme, pas fous, les mecs. Ça oblige ceux que ça décourage à sortir le morlingue pour adopter la version premium.

       Bon, assez piapiaté, sinon cet article va s'intituler "médis à part", hu hu hu ! Rendez-vous ailleurs. Je vous donne l'adresse :

    http://anneduguel.blogspot.fr/

       P.S. : pour l'instant il ne contient pas grand-chose, je m'y colle demain. Là, je vais faire dodo. Over.

     

    Bises.

    Y a Castor chez le Q

     


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                  Un ou deux petits mots du Castor...

     

       Ben voilà, c'est arrivé : la plateforme Eklablog est bardée de publicités depuis le début du mois, malgré les belles promesses de février : "Eklablog n'a pas non plus pour vocation à devenir payant, ni à imposer la publicité", et gnagnagna, comme dirait un certain ersatz de philosophe."
       Ces traîtres se sont bien gardés d'en avertir clairement leurs abonnés. J'aurais pu l'ignorer longtemps (merci, Mêo), puisque les administrateurs ne voient pas les pubs, et que, de surcroît, j'utilise un bloqueur. L'administration nous informe que, pour éviter ce désagrément, les blogueurs ont la possibilité de prendre un compte premium pour la merdique, je veux dire modique somme de 9€ par mois. J'ai comme l'impression qu'on nous prend pour des comptes. Ça m'a mis en colère que le beau blog de ma Gudule soit souillé par des immondices, et je le leur ai fait savoir :

    pub_2c

       Ben ils n'ont pas apprécié. Pour une fois que je ne mets pas de gros mots... Ça m'apprendra à être aimable, tiens. J'ai pourtant pris soin de ménager le staff -qui n'est pas responsable des décisions de sa direction-. Je n'ai bien entendu pas modifié mon message. Du coup je suis tricard du forum, mais je m'en tapote les écoutilles avec une queue de ptarmigan, car je n'ai pas l'intention d'ajouter autre chose.
        En attendant que je fasse migrer le blog vers quelque chose de plus accueillant, il ne me reste plus qu'à m'excuser auprès des lecteurs de ma princesse, et à leur conseiller instamment d'utiliser un bloqueur de publicités, sous peine de voir débouler des remèdes contre la constipation (rigolez pas, sur l'ancien site Overblog, c'est ce qui est arrivé), et autres didacticiels proctologiques.

       Voici l'adresse d'un bloqueur de pub, Adblock Plus est son nom. Il est gratos, et s'installe en 5 secondes. Il existe pour Windows et Mac, et s'intègre à tous les navigateurs, pour ce que j'en sais : https://adblockplus.org/fr/

    La bise,

    y a Castor chez le pif. Y a Castor chez le pif

     

     


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                                    LES CONFIDENCES D'UNE "CHERCHEUSE D'OR"

     

             L’arrestation de Polanski a fait couler beaucoup d’encre. Sa relation avec Samantha Geimer a été minutieusement disséquée par les médias, mais personne n’a songé à interroger la mère de la jeune fille, qui était pourtant aux premières loges. Interviou Imaginaire va tenter de combler cette lacune.

             Est-il exact que vous ayez autorisé Roman Polanski, alors âgé de 43 ans, à prendre des photos de votre fille de 13 ans nue ?

             Absolument. Qu’un grand cinéaste s’intéresse à Samantha, c’était une opportunité à ne pas laisser passer !

             N’aurait-il pas été plus prudent que vous assistiez aux séances de pose, plutôt que de les laisser en tête-à-tête ?

             Pour faire tout foirer ? Vous rigolez ! J’ai juste dit à ma fille : si tu couches avec lui, ta carrière est assurée !

             C’est ce qui est arrivé.  

             Bien entendu. Les mœurs étaient très libres, dans les années soixante-dix, vous savez ! En plus, à 13 ans, Samantha en paraissait vingt. Et le frigo de la villa était rempli de champagne...

             Votre fille a déclaré avoir été droguée.

             Exact : Roman lui a donné du Quaalude. C’était la défonce à la mode. Et il fallait bien détendre la petite : pas évident de se faire sauter à froid par une célébrité !

             Selon ses dires, elle a résisté.

             Évidemment, pour qui la prenez-vous ? Mais elle a quand même fini par céder.

             Pourquoi, alors, avoir déposé plainte pour viol ?

             Parce qu’après se l’être tapée, Polanski l’a laissé tomber. Alors, on s’est dit qu’on allait le faire cracher au bassinet !

             Vous étiez quand même consciente des peines qu’il encourait ?

             Ben oui, c’est pour ça qu’on a accepté un accord à l’amiable : il reconnaissait le détournement de mineure mais pas le viol. Du coup, il évitait le procès mais nous versait un max de dommages et intérêts. Le problème, c’est que la juge, voyant lui échapper une affaire juteuse, a tout fait foirer. Du coup, Polanski risquait cinquante ans de taule...

             C’est pour cette raison qu’après un mois et demi de préventive, il est allé se réfugier en France.

             Tout juste. Vous auriez fait quoi, vous, à sa place ?

             Ne vous était-il pas possible de retirer votre plainte ? 

             C’est ce qu’on a fait, mais trop tard : la machine juridique était en route. Plus rien ne pouvait l’arrêter, même pas le temps. La Justice américaine ne prévoit pas la prescription.

             Une dernière question : quel a été le montant des dommages-intérêts que vous avez perçus ?

             — C’est une chose que les journaux ont eu la pudeur de passer sous silence, permettez-moi d’en faire autant...

             
    N.B. : Depuis la rédaction de cet article, le montant du dédommagement a été révélé : 500.000 dollars (342.700 €), augmenté des intérêts — car bien que la somme ait été fixée en 1977, la fuite de Polanski avait interrompu le processus de paiement, processus relancé en 1993. Le paiement total n'a été effectué qu'en 1996, depuis la France. La somme se montait alors à 604.416 dollars (414,660 €). Ce n'est qu'une fois en possession de cet argent que Samantha a "pardonné", et demandé que soient interrompues les poursuites à l'encontre de son "violeur". 
    Il est intéressant de préciser également que les chefs d'inculpation de Polanski sont typiquement américains :  le "viol", qu'il a contesté puisque sa partenaire, malgré quelques réticences au début, était consentante, est automatique lorsque les relations sexuelles ont lieu avec un(e) mineur(e). Quant au terme "sodomy", il désigne d'office tout acte sexuel non conforme ( c'est-à-dire entre personnes majeures, et par les voies prévues à cet effet). Voir, à ce propos, ma rubrique "Vos gueules les mômes" parue dans le Siné Hebdo n°56, intitulée "Le cauchemar américain".

     


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       C'est le titre d'un court métrage adapté d'une de mes nouvelles par Jonathan Rio, dans le cadre d'une association de jeunes cinéastes, l'Asso Revo. 
    Pour le voir, c'est ici : 


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       Interruption des râleries de mémé Georgette pour aujourd'hui. Désolé, mémé, tu as quartier libre, va te reposer les cordes vocales et faire des gargarismes. Tes auditeurs ne perdent rien pour attendre, de toute façon.

       Ce matin, on va ressortir une planche entièrement dessinée par Gudule, avec son style inimitable. Un peu désabusée, la planche, mais bon. On va dire que l'optimisme a quartier libre, lui aussi, pour cette fois.

       En bonus, un cliché pris par le Castor il y a trois ans. Raccord avec la bande dessinée, sinon c'est pas drôle.

    Bises.

       Castor tillon.

     

    Gudule dessins

                                                                            (Dessins Gudule)

     

    Gudule bistrot

                                                                   (Photo Castor tillon, avril 2013)

     

     


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