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                           Des économies de bouts de chandelles

     

             J’aimerais qu’on m’explique par quelle aberration le changement d’heure est censé nous faire économiser de l’énergie. Que la nuit tombe une heure plus tôt ne change rien aux habitudes des gens, sauf que la soirée commence à six heures au lieu de sept (heure d’été), ce qui les décale et les emmerde. Mais comme les décisions techncratiques ne peuvent modifier les rythmes biologiques, tout le monde se couche à l’heure habituelle (c’est à dire vers onze heures, heure d’été, mais minuit, heure d’hiver). Résultat : une heure d’éclairage et de chauffage supplémentaire, pour l’ensemble de la population. En revanche, l’heure de soleil gagnée le matin ne concerne que ceux qui se lèvent tôt, c’est-à-dire environ soixante pour cent des Français (chômage oblige). Les autres n’utilisent pas d’énergie puisqu’ils dorment...  Elle est où, l’économie ?

     

     


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  • Qu'il est beau cet Eric Simard !

     

    Entre Jean-Claude Dunyach et Joëlle Wintrebert. 

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                                   Les galeux de l’Elysée

      Non, je n’insulte personne : trois sous-officiers de la Garde républicaine résidant au palais présidentiel ont bel et bien chopé cette peu reluisante (et très contagieuse) maladie. Par qui ont-ils été contaminés ? Mystère. Pas par les locataires en titre, en tout cas : les microbes qui infestent nos dirigeants ne s’attaquent qu’à l’égo. Ils ne chatouillent pas, ils font grossir la tête et enfler les chevilles. D’après les médecins chargés de traiter les malades, l’affection serait liée à leur condition de vie : locaux insalubres et vétustes, hygiène déplorable, promiscuité excessive. Sous les ors et les pompes de la dynastie royale stagne donc un cloaque où barbotent les esclaves ? Joli symbole, ma foi !

     


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             J’aurais adoré me taper Polanski, moi, quand j’avais 13 ans !

     

             Au lieu d’être initiée par un copain d’école pisseux et maladroit, dans les fourrés d’un square, découvrir l’amour avec un homme beau, célèbre, talentueux et riche, dans un décor de rêve... Putain, le souvenir ! Et qu’est-ce que je frimerais, aujourd’hui, devant mes petites-filles ! Oui, j’envie Samantha Geimer, n’en déplaise aux bien-pensants de tout poil qui hurlent au viol et à la pédophilie. Quand je pense qu’ils osent plaindre cette grosse bonne femme, après le tas de pognon qu’elle a touché en sus ! Moi, à sa place, j’aurais rien demandé du tout. J’aurais juste dit « merci la vie », et le merveilleux Alfred du Bal des vampires ne serait pas en taule. Ah, si on pouvait réinventer le passé...

             Ça me donne envie d’écrire un Roman, tiens !

     

                                                                   


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