L’instit Durant plusieurs années, j’ai novélisé la série L’Instit pour le compte des éditions Hachette. Ce travail m’assurait un double avantage : un revenu régulier et sûr, d’une part, et la reconnaissance de mon travail par mes parents, de l’autre....
Lire la suiteLa main du diable Les cancers ont parfois d’étranges conséquences. Celui qui sévissait dans ma tête (oui, le dénommé Guillaume, c’est cela même) me provoquait une paralysie de la main gauche qui me handicapait beaucoup — pour écrire, en particulier. Car...
Lire la suiteOdeurs de sainteté Quand j'étais enfant, l'on trouvait, dans les boutiques d'objets pieux, des images parfumées, généralement au lys lorsqu'elles représentaient la Vierge ou Saint Joseph, à la rose — pour les Jésus blonds et les angelots joufflus ou,...
Lire la suiteSerial menteuse (suite) Quelque vingt ans plus tard, je remis le couvert. Mais pour ma fille, cette fois. Et non par goût de la mystification, par complicité de mère. L’histoire de Johnny l’ayant incitée à marcher sur mes traces, nous ressuscitâmes le...
Lire la suiteSerial menteuse Si je n’étais pas menteuse, je n’aurais jamais écrit Colette Du plus loin que je me souvienne, le mensonge a toujours fait partie de ma vie. Et je ne parle pas que du mensonge utile, celui qui vous évite une punition ou une embrouille....
Lire la suiteTrop mignon Quand je suis rentrée aux arts-déco, à dix-sept ans et des poussières, je dessinais des profils féminins dans les marges de mes cahiers. Et comme si ça ne suffisait pas, j’y adjoignais quelques poulbots encasquettés jusqu’aux oreilles, et...
Lire la suitePrince des caresses (ter) Ne dites jamais de mal des princes en ma présence, je suis leur plus fervente adepte. Quelqu’un m’a prétendu un jour : « Ces histoires d’épreuves à la con, de sort qui s’acharne, de malédictions, de duels sans merci, c’est du...
Lire la suitePrince des caresses (bis) Rien ne ressemble plus au bonheur qu’un couple joyeux et libre Je me disais : « Il va fuir. Aucun homme normal ne s’encombre d’une malade juste parce qu’il a couché une fois avec. Faut pas rêver, ma grande ! Ce genre de truc...
Lire la suitePrince des caresses Je me disais : « Revivre une histoire d’amour à ton âge, faut pas rêver, ma grande ! Tu n’es ni jeune, ni belle, la vie t’est passée dessus au rouleau compresseur ; y a pas un mec normal qui va avoir envie de prendre une balayette...
Lire la suitePapa et les femmes Au siècle dernier, tout était prétexte à misogynie. A croire que les hommes avaient si peur des femmes qu’ils cherchaient sans cesse de nouveaux arguments pour les rabaisser. Sous couvert de lieux communs faussement scientifiques —...
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