• grands moments de solitude 61 (tome 2)

                                   Quand je pense à Fernande…

    Une de mes amies, infirmière de son état, m’a raconté cette anecdote que, pour ma part, je trouve hilarante. Au début de sa carrière, elle se trouve un jour dans l’obligation de raser le pubis d’un patient bien monté. Cette formalité  la gêne d’autant plus qu’il est visiblement  émoustillé. Très embarrassée, elle appelle sa chef  à la rescousse. Cette dernière, une sexagénaire qui, à l’évidence, connaît la musique, s’empresse de la suivre au chevet du loustic qu’elle apostrophe gaillardement :

    — Et maintenant, mon p’tit bonhomme, qu’est-ce qu’on fait ?

    La question s’agrémente d’un claquement de dentier qui, instantanément, coupe court au malaise.

     

     

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  • Commentaires

    1
    Lundi 11 Août 2014 à 23:21
    Castor tillon
    Je suis sûr qu'il a craint qu'elle ait une dent contre lui.
    2
    Lundi 11 Août 2014 à 23:35
    Castor tillon
    Elle a la dent dure, quand même.
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    3
    Lundi 11 Août 2014 à 23:35
    Castor tillon
    Du coup, il ment debout.
    4
    Lundi 11 Août 2014 à 23:43
    Gudule
    le contrepéteur fou a encore frappé !
    5
    Mercredi 20 Août 2014 à 13:31
    Pata
    Mouarf, y'a pas qu'au malaise qu'il a coupé court, le p'tit claquement de dents !!
    6
    Mélanie
    Vendredi 29 Août 2014 à 13:22
    Mélanie
    HA HA HA ! (pardon.)
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