• grands moments de solitude 126 (tome 2)

     

                                    Le coup du parapluie (suite et fin)

     

             Frédéric avait une vingtaine d’années quand il commença à travailler dans le cinéma — comme accessoiriste, d’abord, puis ensemblier, et, plus tard, chef déco. Un jour, croisant Richard Bohringer sur un plateau, il ne résista pas au plaisir de lui lancer :

             — Bonjour papa !

             Et comme l’acteur restait bouche bée.

             — Je suis le fils de Gudule, précisa Fred avec un grand sourire. Paraît que tu vas jouer le rôle de mon père ?

             Allez savoir pourquoi, ces deux-là ont illico sympathisé…

     

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  • Commentaires

    1
    Vendredi 2 Octobre 2015 à 06:38

    Ah mince. Peut-être que Richard ne se rappelait plus la tirade du parapluie.

    2
    Mercredi 7 Octobre 2015 à 10:35

    Hé, hé, taquin le Fred !

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