• A PARAÎTRE FIN AVRIL CHEZ MIC-MAC

    L’inconnu de la ville fantôme (À PARTIR DE 9 ANS)

     

             Grande première, pour Valentine : pendant les vacances, elle va tourner dans un film. Un western fantastique intitulé « L’Évadé », ayant pour décor une ville-fantôme du Far-West. Elle y  jouera le rôle d’une jeune Indienne, car elle est excellente cavalière.

             C’est à travers son journal intime, tenu quotidiennement, que le lecteur partagera ses émotions, ses peurs, ses enthousiasmes... et prendra peu à peu conscience du mystère qui plane sur ce lieu étrange. Car la ville fantôme semble bel et bien hantée. Par qui ? Par quoi ? C’est ce que Valentine va s’efforcer de découvrir, avec l’aide de Snoopy, son copain palfrenier.

             De confidence en confidence, la jeune fille nous entraînera dans cette enquête, au fil de ses états d’âme, de ses doutes, de ses surprises, et surtout de ses battements de cœur. Jusqu’au coup de théâtre final...

           L'inconnu-de-la-ville-fantome Couv

    « ET UN NOUVEAU LIVRE, UN !Mille ans de contes mythologiques »

  • Commentaires

    1
    Mercredi 13 Avril 2011 à 21:15
    rémy
    Tu as le chic pour allécher le lecteur grâce à des quatrièmes de couverture mitonnés aux petits oignons... Ceci dit, j'ai regardé dans les deux librairies de ma petite ville et je vois peu de Gudule en rayon. C'est un scandale! Je crois que je vais les brûler... Heu, ce n'est peut-être pas la bonne solution. Acheter sur le Net, alors... Mais sur EBay, le prix d'un "Gudule" est proche de celui d'une superbe champagne... Un Magnum, bien entendu. Car avec Soeur Gudule, il y a toujours de la cuite dans les idées... Mouaif, suis un peu fatigué...
    Tiens, je viens de lire "Le manège de l'oubli" et j'ai beaucoup aimé. Ecriture simple, péripéties tirées au cordeau, personnages sympathiques et histoire fantastique délicatement tartinée sur une jolie tartine beurrée. Un petit délice.
    Bises,
    Rémy
    2
    Jeudi 14 Avril 2011 à 08:31
    rémy
    Ce qui compte, en fait, c'est l'esprit qui se dégage d'un récit. Et je t'assure, pour avoir lu "le manège...", que l'esprit général du roman est très agréable, avec des soubassements sociologiques qui, pour en être discrets, n'en sont pas moins près présents.
    Je me rappelle avoir parlé à Virginie Brac de son premier bouquin. Elle n'y pensait même plus, le trouvant mauvais. Il s'agissait d'un polar paru au Fleuve Noir, "Mort d'un fauve", que je relis régulièrement. Cela ressemble à un synopsis de télé (ce qui annonçait, donc, son futur métier), mais il y avait - et il y a encore - un souffle incroyable. Le lecteur est emporté dans l'imagination de l'auteur qui, oh miracle de la grâce, le laisse libre, aussi, d'inventer vraiment son propre monde.
    Donc, c'est vrai, le style change, l'auteur devient exigeant, mais il ne faut jamais que cela soit fait au détriment de son propre souffle. Je t'assure que, toi, tu n'en manques pas.

    PS: Ca n'a rien à voir mais...je cherche des illustrateurs jeunesse susceptibles de m'épauler dans certains projets... mais je ne sais pas où et comment chercher. Peut-être aurais-tu une idée?

    Bises,
    Rémy
    3
    Mardi 19 Avril 2011 à 09:51
    rémy
    Pour continuer dans notre propos, au sujet de l'écriture, j'ai souvent remarqué que ce qu'on appelle "le style" n'est, à tout prendre, qu'un mot-valise qui contient des dizaines de sens, voire de nombreuses assertions contradictoires. Combien ai-je aimé Dumas et ses dialogues à l'emporte-pièce... avant de connaître les raisons de cette rapidité "moderne": être payé à la ligne et non au mot. Et, cependant, peut-être en raison de son long passage - et donc de sa formation - par le théâtre, ces dialogues continuent à me fasciner, bien qu'ils ne soient pas "stylistiquement parlant" esthétiques (je n'ai pas d'autre mot et la phrase est vilaine, je le reconnais).
    Le plaisir de lecture ne vient pas tellement de la manière dont l'auteur présente son histoire que de cette étrange atmosphère dans laquelle se plonge le lecteur lui-même. On ne se souvient, dans un récit, souvent (du moins est-ce mon cas), que des circonstances qui ont présidé à la lecture, du moment particulier dans lequel on était plongé, des odeurs ou des mille bruits qui accompagnaient cet univers dans lequel on se laissait glisser avec sensualité... La lecture est avant tout une histoire d'amour (du moins de forte amitié) et, c'est vrai, la "tambouille" de l'auteur, le lecteur s'en moque un peu. Il adopte les personnages sans se poser de questions et, une fois de l'autre côté du miroir, il se laisse emporter dans le flux de l'imaginaire véhiculé par l'histoire.
    Bon, je ne sais pas où je vais, là, c'était juste une petite manière de te souhaiter une bonne journée.
    4
    Gudule
    Vendredi 29 Août 2014 à 13:52
    Gudule
    Hou, c'est vieux, ça ! Tu es sans doute comme moi : de plus en plus exigeant au fur et à mesure que le temps passe. Quand je relis mes anciens bouquins, je ne vois que les tics d'écriture : trop de points d'exclamation et de suspension, ou un mauvais rythme, des mots maladroits ... Mais bon, le jour où on est autosatisfait, autant arrêter d'écrire, n'est-ce pas ?
    5
    Gudule
    Vendredi 29 Août 2014 à 13:52
    Gudule
    Ma remarque ne concernait pas le fond des livres, mais leur forme. Et cette coquetterie d'auteur n'est perceptible que par nous, pas par nos lecteurs, heureusement... Les idées, tout ça, je ne les renie pas, bien entendu. Si c'était le cas, je n'aurais plus qu'à arrêter ce métier et me mettre à la retraite !
    Je connais assez peu d'illustrateurs jeunesse ; tu sais comme moi que c'est l'apanage des éditeurs, que de mettre en contact un texte et des illustrations, en évitant autant que possible que les auteurs des uns et des autres se rencontrent. Internet, par bonheur, est en train de changer ça.
    Tu devrais peut-être contacter Marc Lizano, des éditions Gargantua. Une toute nouvelle maison d'édition pour la jeunesse où il est en train de se passer plein de trucs.
    6
    Gudule
    Vendredi 29 Août 2014 à 13:52
    Gudule
    Tout à fait d'accord avec toi, à une nuance près. Pour moi, le style (je déteste ce mot, trop académique) n'est rien d'autre qu'une manière de faciliter la lecture. On m'a dit souvent que mes livres se lisaient tout seuls, et c'est, pour moi, le plus beau compliment. Ça signifie que je suis arrivée à rythmer mes phrases de manière à rendre l'action fluide. Et ce que je nomme "fautes de style" est tout ce qui vient en perturber le cours. Pour moi, un texte est comme une musique. Il entraîne le lecteur dans une sorte de danse, sans heurts, sans à-coups, sans faux pas. Sans efforts, non plus. En tout cas, c'est vers ça que je tends depuis plus de trente ans. Et c'est la raison pour laquelle la relecture de mes vieux textes me fait grincer des dents (comme ce que j'écris aujourd'hui me fera sans doute grincer des dents dans quelques années). On a tous notre idée de la perfection, non ? l'inaccessible étoile...
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